At.The.Dusk - Le bonheur n'est-il qu'une illusion ?http://at.the.dusk.cowblog.frSommes nous encore Humains ?CowblogfrFri, 11 Apr 2014 10:52:55 +0200180http://at.the.dusk.cowblog.fr/article-3263380.html!]]>http://at.the.dusk.cowblog.fr/commentaires-3263380.htmlFri, 11 Apr 2014 10:52:00 +0200http://at.the.dusk.cowblog.fr/article-3263380.htmlhttp://at.the.dusk.cowblog.fr/les-rats-3198655.htmlLes ratshttp://at.the.dusk.cowblog.fr/commentaires-3198655.htmlWed, 01 Aug 2012 13:39:00 +0200http://at.the.dusk.cowblog.fr/les-rats-3198655.htmlhttp://at.the.dusk.cowblog.fr/le-monde-est-une-vraie-porcherie-les-gens-se-comportent-comme-des-porcs-2829795.html" le monde est une vraie porcherie, les gens se comportent comme des porcs [...] "Sommes-nous encore Humains ?

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Alors ?




Les liens des images & les textes les accompagnant seront ajoutés par la suite.
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http://at.the.dusk.cowblog.fr/commentaires-2829795.htmlThu, 23 Apr 2009 10:41:00 +0200http://at.the.dusk.cowblog.fr/le-monde-est-une-vraie-porcherie-les-gens-se-comportent-comme-des-porcs-2829795.html
http://at.the.dusk.cowblog.fr/les-emeutes-des-banlieues-la-revolte-des-quartiers-populaires-2777911.htmlLes émeutes des banlieues = La révolte des quartiers populaires.Sourire d'un soir,
Quelque peu délavé
.

          Je fais partie de cette jeunesse aux buts qui s'effacent petit à petit. Mon âme est torturée, déchirée. J'ai honte de ce que je suis, de ce que je serai. Je ris. Imbéciles immatures qui veulent se faire passer pour des adultes. Cette majorité qui, pour fuir, se réfugie dans des conneries & se bousille l'existence. Cette immense majorité qui préfère monter dans le train, direction : gare de la normalité. Cette majorité absolue immature restée au stade des peluches enfantines & de la gentillesse autrement dit de l'hypocrisie cachée sous une énorme mascarade.
Parmi ce nouveau monde froid & cruel où règne la loi du plus fort, il y a cette réalité qui a tué tous nos fantasmes de romantisme. Cette réalité qui nous use à devenir mutilé de liberté. Salir son cœur & ses envies avec des pourritures qui nous permettent de nous évader quelques minutes de ce concept de superficialité de beauté où certaines filles s'obstinent sur leurs balances & aux futurs hommes faisant l'amour encore enfant pour le prouver. À tous ces anciens enfants devenus grand trop vite. À ces foutus règlements desquels on veut s'évader quelques temps. À cette sois-disante éducation que l'on veut briser, à un avenir inexistant auquel on ne veut participer. À cette généralité de vie qui brise des milliers d'espoir ; je lève mon verre. Tout ces rêves en commun de richesse & d'attirance. Une jeunesse qui s'obstine à de stupides actes. Un idéal brisé. Mon âme est torturée, salie, fragmentée en centaine de morceaux impunément répartis sur Terre. Cette confiance non accordée à l'inconnu, je m'obstine à mon existence irréelle. Je suis ratée. Mon début de vie est déchiré dans monde de menteurs. Tous ces artistes torturés par le désarrois, obligés d'acquérir des substances pour devenir si créatifs dans une jeunesse technologique, fainéante, où le plus marqué fera la loi. Le froid hante nos c
œurs. L'avenir est inimaginable, l'avenir est mascarade, autant que le présent...
Il n'y a plus assez de place dans mon cœur, pour loger la révolte, le dégoût, la colère.
Ne me lâche pas, mon train déraille.
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http://at.the.dusk.cowblog.fr/commentaires-2777911.htmlTue, 27 Jan 2009 20:53:00 +0100http://at.the.dusk.cowblog.fr/les-emeutes-des-banlieues-la-revolte-des-quartiers-populaires-2777911.html
http://at.the.dusk.cowblog.fr/j-espere-que-cette-nuit-n-etait-pas-un-reve-2754104.htmlJ'espère que cette nuit n'était pas un rêve...http://at.the.dusk.cowblog.fr/images/way.jpg
À
toi, la fille qui hante mes visions nocturnes.
Une des raisons de mes insomnies, également.
Où est passée la folie qui nous animait lorsque l'on s'est connues ?
Où sont désormais les bonds dans mon coeur, lorsque je voyais ta chevelure flamboyante au loin ?
Où sont passés mes inquiétudes, mes angoisses à propos de ton caractère que j'ignorais & que je me plaisais à découvrir chaque jour, mon envie de te plaire & de te faire rire ?
Tu te souviens de tout ça ? Nos embrassades folles, nos soirées d'amour infini, nos putain de câlins, tu sais ; ceux qui me font pleurer. Moi je m'en souviens & je me souviens aussi me réveiller rien qu'à la force du désir de te parler.
J'ai peur de la routine, de l'ennui. J'ai peur de la distance. Je me réveille. Doucement. Faut dire qu'elle nous bousille. J'en ai marre.
Force est de constater que toi seule arrive à me suivre dans les couloirs de mon labyrinthe.  Toi seule peut traverser les barreaux de ma prison mentale.
Malheureusement, rien n'est plus comme avant.
C'est dingue comme une idée peut différer, du jour au lendemain, d'une minute à une autre. Que peut-on faire en si peu de temps ? Se remémorer tous ces moments passés avec toi. Tout cet amour perdu au coin d'un feu. Ce putain de sentiment qui est là, mais qui est désormais inutile.
Je ne sais pas ce qui me prend, mais je sais que je me sens capable de te laisser tomber ce soir même. Puis sûrement le regretter demain. Mais ne surtout pas revenir en arrière, car échouer, perdre de la dignité ou autre connerie du genre. Peur de me tromper.
Je ne sais jamais quels choix prendre dans ma vie. Je suis indécise, lunatique & sans doute, je me prends trop la tête.
Alors soit tu es intelligente & tu ne prêtes pas attention à ce que je raconte ce soir, soit tu es une idiote & tu t'acharnes à comprendre ce qui me passe par la tête (alors que moi même, qui suis la principale concernée, ne le sais pas exactement) & alors, tu n'auras pas de réponse, juste de la souffrance & de l'inquiétude. Mais tu dois avoir l'habitude.
Ah mais aussi, j'ai oublié de préciser.
Si tu ne prêtes pas attention à ce que je dis ce soir, je risquerais de t'en vouloir, dans un futur proche, de ne pas avoir pris en compte ce qui me tenait à coeur. Tu sais, je vais me dire que tu te fous de moi...
Puis donc on se disputera & on s'éloignera.
Quand mes visions nocturnes m'empêchent de rêver & couvrent mon sommeil d'un voile inachevé, je n'ai plus de mots assez durs pour te dire que je t'Aime... encore.
Un voile blanc s'infiltre doucement devant mes yeux.

N
e pas me lever, avoir peur, angoisser.
Déambuler dans les plaies de mon labyrinthe sombre & noir.
Je sors mon briquet phosphorescent pour griller mes traumatismes d'enfant. Je t'attends & me mens.
Tu ne pourras pas venir puisque tu ne sais pas où je suis à ce moment là & que c'est toujours ainsi.
Et puis je me mets à chanter, un petit air anodin qui me trouble jusqu'au matin. Je t'avais dit d'te barrer, de cesser de m'aimer mais finalement tu as insisté. Mais quoiqu'on fasse est bel & bien foutues.

Mea culpa.

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http://at.the.dusk.cowblog.fr/commentaires-2754104.htmlFri, 26 Dec 2008 15:08:00 +0100http://at.the.dusk.cowblog.fr/j-espere-que-cette-nuit-n-etait-pas-un-reve-2754104.html
http://at.the.dusk.cowblog.fr/sursaut-de-nevrose-2741632.htmlSursaut de névrose.             Comme quoi, tout arrive. Ce sentiment de frustration intense qui vous prend à la gorge en voyant l'incapacité que vous ressentez devant toutes ces morts qui s'enchainent. Souvenez-vous, vous avez déjà ressenti ça. Cet étau qui vous sert les entrailles,  cette boule qui vient se nicher dans votre ventre puis qui monte dans votre gorge, votre déglutition qui devient difficile, amer. Ce goût de mal-être qui reste dans votre salive.
Mes sous-vêtements sont éparpillés aux quatre coins de la chambre. On pourrait penser que j'ai passé une nuit torride. Eh bien non.. J'ai passé une nuit exécrable ! Une nuit à me retourner dans mon lit. Une nuit à allumer & éteindre la lumière. Une nuit à chercher le sommeil sans le trouver. Une nuit à me brosser les dents après chaque verre, jurant que c'était le dernier. Cette nuit, je me suis posé toutes les questions que j'ai oublié de me poser.
Le silence nous sied bien. Ca, c'était avant. Malheureusement, il devient étouffant. On rit beaucoup, je critique beaucoup, vous restez silencieux. C'est juste une émeute émotionnelle.
Nos histoires noires, nos nuits blanches plantées en plein manque de tout & cherchant le jour.
Tu m'as gonflé ces derniers soirs avec ton vague regard fêlé de fille qui joue madame beauvoir en ségolène ivre & camée. Mes désirs sont mélancoliques mais ça va ; j'te sens blottie au fond d'mes veines. C'était juste une pâleur nocturne.J'ai tenté de m'abrutir dans la musique l'alcool, le sexe & les barbituriques. Mais, ça ne marche pas.
Je devrais m'abstenir de poser des mots quand je sais qu'ils résonnent creux.

 

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Merci pour le modèl, Caro... J'espère que l'on recommencera prochainement.


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http://at.the.dusk.cowblog.fr/commentaires-2741632.htmlSun, 07 Dec 2008 22:48:00 +0100http://at.the.dusk.cowblog.fr/sursaut-de-nevrose-2741632.html
http://at.the.dusk.cowblog.fr/si-t-as-peur-de-te-mouiller-retourne-a-ton-f-tus-2702822.htmlSi t'as peur de te mouiller, retourne à ton fœtus.    Le téléphone sonne dans le vide & elle s'en fout, le répondeur a l'habitude de pallier à son absence sempiternelle. C'est toujours quand j'ai besoin de toi que tu n'es pas là. Je te le hurle mais tu ne l'entends jamais, occupée ailleurs.

                                  

      Je vais en crever & je déteste ça plus que tout ! Je compte bien te faire payer chaque jour, ce mal qui me ronge les tripes, le coeur & bouffe mon âme. Là, j'ai senti ce dégoût dans ma bouche, cette envie de vomir. Oui j'ai su que c'était ça & je me suis rappelée pourquoi j'en voulais plus, pourquoi j'te chasse de moi, de mon coeur, de mes pensées, je hais tout ça profondément.. Pars vite & reviens tard.. Tu as tout ce qu'il me reste entre tes mains alors serre le très fort, perce le, explose tout ce qu'il me reste & abandonne moi encore, loin de tout & surtout loin de moi.. Si dans la nuit je me réveille pour en pleurer ; n'y prête pas attention. Que mes larmes s'envolent aussi..
Ma paralysie interne.
Rien n'a changé c'est toujours la même brûlure à l'intérieur, les mêmes maux, la même mélodie. Il me rattrapera un jour, ce passé, ces extases à tous les coins de rues, où mes amours sans lendemain me laisseront encore cette impression d'éternité, où je considérerais à nouveau mon existence comme une de ces catastrophes naturelles qui feront d'elle le point de non retour..
Pour le moment ça se déchire à l'intérieur, & ça s'étire au delà du raisonnable, je suis en décomposition permanente d'un ensemble illusoire, je ne suis qu'une altération sans fin.
Mais même si je ne sais pas aimer sans me cramer la gueule, sans faire de ma vie : cette défonce permanente, j'ai appris à domestiquer ma peur, à renflouer mes angoisses, & je préserve ce qu'il me reste d'utopique à l'intérieur, loin des échéances éventuelles.

Did you forget to take your meds ?

Pendue, perdue, oubliée, enragée, silencieuse. Vous n'avez pas compris. Encore.
J'ai essayé d'y croire, j'ai fermé les yeux. Très fort. Au point de voir des étoiles quand je les ai ouvert.
J'y étais presque.
Presque.
Lors de mes rares moments de lucidité, je savais, je savais que ce n'était pas moi, que ce n'était pas mon bonheur, qu'une fois de plus le mensonge m'avait rattrapé.
Je n'irai plus.
J'ai espéré aussi avec d'autres, mais ce n'était qu'une illusion plus forte.
L'orage. Enfin.


 
Une doucereuse odeur de malheur s'empare de mon être de peur.
Ta fuite ne peut paraître anodine qu'aux yeux d'un sourd ;
Car je perçois sans regarder, tes pas feutrés d'agonisante lâche, j'ai mal.
Mes sens sont tous à l'affût.
Tu passes en traître, tu tentes bien de m'aimer à ta façon,
Mais tu m'abandonnes au dernier moment.
Cette nouvelle fuite tourmente mes névroses dociles ;
Comme un souvenir flottant autour de moi, les uniques arômes de ton corps.
Un blâme persécute amèrement ma bouche qui s'était trop tue face à ton indifférence.
Tout ce que j'arrive à chuchoter sur ton triste passage, est un faible « reviens-moi » 
Mais décidément tu veux vraiment ma mort, n'est-ce pas?
J'attends le temps. Le passé est révolu.
Même plus le temps d'y penser. Plus le temps de rien..


Parfois on se ressemble à s'en morde les lèvres.. T a i s- To i.. Emmène-moi où tu voudras, Mais plus dans mes songes s'il te plait laisse-les moi, laisse-les moi...
Moi, je colle des étoiles lumineuses au plafond des visions scandaleuses sur les murs de ma prison mentale.
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http://at.the.dusk.cowblog.fr/commentaires-2702822.htmlSun, 19 Oct 2008 20:57:59 +0200http://at.the.dusk.cowblog.fr/si-t-as-peur-de-te-mouiller-retourne-a-ton-f-tus-2702822.html
http://at.the.dusk.cowblog.fr/mes-larmes-restent-dans-le-creux-de-mes-cernes-2679401.htmlMes larmes restent dans le creux de mes cernes.      Morte.. Morte, morte. Elle est morte.
Cette nuit, j'ai pleuré & il n'était pas là pour me consoler. Elle non plus..

Oreiller trempé, doigts congelés, larmes étranglées, utopie brisée.

"Je sais quelque chose que tu ne sais pas."
Ventre noué, tripes retournées, j'étouffe partout. J'suis de nulle part, ici ou là-bas je n'existe pas. Sourires & soupirs, des injures pourrissent.
 Tous les matins j'plonge dans l'infini néant de routine..
La mélancolie fait son entrée, accompagnant le vent glaçant qui régente ma vie. Pourrait-on me servir une bonne vodka avant que mon âme se noie dans l'infini néant de mon existence ? La lune déborde & je me réveille seule. Mes neurones frétillant comme des millions d'anguilles dans l'eau.
Morte..
Les vers bouffent ses miasmes corporels comme si c'était un sucre. Mon sucre de mort. Je t'ai donné mon sourire cette nuit, même si depuis quelques jours il n'était accroché qu'au bout de mes doigts. Écrase-le, bousille-le, défonce-le. Il ne me servira plus. Elle est morte.
Elles sont mortes.



     


















J'voulais partir, pour un voyage un peu lointain. Tu ne t'en rendrais même pas compte, mais moi, je le saurai & c'est cela qui me chagrine le plus. Doux moment délirant, douces larmes se hasardant au creux de mes joues humides de plusieurs pluies. J'ai besoin de vous.. Mais j'vous Hais.

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http://at.the.dusk.cowblog.fr/commentaires-2679401.htmlThu, 18 Sep 2008 20:20:40 +0200http://at.the.dusk.cowblog.fr/mes-larmes-restent-dans-le-creux-de-mes-cernes-2679401.html
http://at.the.dusk.cowblog.fr/bonsoir-anais-lyceenne-je-fais-de-ma-vie-un-second-guernica-2666576.htmlBonsoir. Anaïs, lycéenne & je fais de ma vie un second Guernica.














I
l parait que la planète s'est émiettée, juste parce que quelqu'un a éternué. Ceci, nous l'avons attendu toute une vie.
Je suis un diatribe vivant. Parfois, je n'me comprends pas alors comment comprendre les autres ? Essaie s'il te plaît, & dis moi que ce n'est pas réel. Il me semble que j'ai toujours des larmes à perdre. Écrire partout & sur la peau. Se laisser déverser l'eau mécanique du ciel à en boire des verres de pluie.
Les nuits valsent autour de moi sans que mes yeux ne se ferment. La route est courte & j'ai si peur de me cogner à un mur, de pas voir la fin arriver, de rien voir du tout. Avalée par les étoiles, je reste là dans le noir qui tombe aux angles de mon cœur. Trop d'angles peut-être justement. Il faudrait penser à s'adoucir, à arrondir. Il faudrait ne plus penser. A rien. Des mots noirs sur des feuilles blanches à petits carreaux, & qui dégoulinent sous la pluie. Il ne manque plus grand chose pour que ce soit moi qui tombe, pour que ce soit moi qui tangue, pour que ce soit ma trace, pour que ce soit mon ombre qui dégouline d'indicible.

   Je vomis mes mots ou plutôt je les gerbe, comme une boulimique je n'en veux plus, qu'ils sortent de mon corps autant que je voudrais le faire avec mon sang. Ce mal qui me ronge de l'intérieur, qui me bouffe les tripes est uniquement de votre faute. Je vous hais. Je n'y arrive plus en ce moment, mon utopique de putain d'monde s'écroule sous mes yeux, sans que je n'puisse rien faire. Je déteste ça. C'est comme rouler sur un vélo sans pédale, plutôt casse gueule.. Une bulle, colorée à l'extérieur, les façades n'est-ce pas ? C'est uniquement ce que les gens voient, ce serait trop con d'aller plus loin. Surtout trop fatiguant pour leurs cerveaux atrophiés. Humanité droguée contre une vie illusoire, Une bouteille de vodka, quelques grammes de weed & tout s'arrange. J'entends mon cœur battre, c'est pas régulier. Parfois, j'me comprends pas moi même. Notre vie vaut-elle ce qu'elle nous a coutée d'effort ? Il m'arrive d'en douter. A force de ravaler, ravaler sans jamais dire ; j'ai fini par m'automutiler, une sorte d'anorexie des sentiments.
Gentiment je déjante.



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http://at.the.dusk.cowblog.fr/commentaires-2666576.htmlTue, 02 Sep 2008 19:18:57 +0200http://at.the.dusk.cowblog.fr/bonsoir-anais-lyceenne-je-fais-de-ma-vie-un-second-guernica-2666576.html
http://at.the.dusk.cowblog.fr/if-i-can-t-be-my-own-i-d-feel-better-dead-2643270.htmlIf I can't be my own, I'd feel better dead.

Marche funèbre d'une jeunesse déshéritée..
L'insomnie a pris ma planque & mes yeux sont cernés. J'dois garder le moral, mais je n'sais pas où il est. Etant vouée à la mort je cherche un intermédiaire. Pourquoi s'épuiser à bien faire, quand on peut aussi faire de la merde ? Partager des souvenirs tranchants & cette sensation nauséeuse à l'estomac quand je les évoque. Un tourbillon de sarcasmes, de claques, de fumée.. Vapeurs paradisiaques de souvenirs toxiques dans l'ombre aphrodisiaque d'un junkie mécanique. N'est-ce pas le cri du vent qui souffle à travers nos amplis ou ce reflux du temps dans le couloir des nostalgies ? N'est-ce pas la nuit en transe qui peint en noir nos artifices comme une sentence ? Envoyez l'ambulance.
J'ai très souvent pensé à toi depuis quelque temps pendant que les stupides causaient, le chagrin joue avec les lois & les lois jouent avec nos plaies. Les salauds sont pas ceux qu'on croit quand tout bascule à l'imparfait. Les étoiles étaient nulles & la Lune était vide, glauque & débile comme le courrier du fan-club d'une idole.
Je crache dans les draps quand tu te fous de l'amertume de ceux qui te baisent en rêvant. Des odeurs de mercurochrome sur le registre des mes plaies. Suis-je seule ou les autres sont trop nombreux ? Quand mes visions nocturnes m'empêchent de rêver & couvrent mon sommeil d'un voile inachevé je me sens comme frelaté.
Ton premier cri réveille, de son écho brisé, l'ouragan qui sommeille dans mes veines oxydées & mon regard prélude le jeu de la pudeur quand, par manque d'habitude, on s'méfie du bonheur. Je reviendrai taxer ta mémoire dans la nuit du dernier espoir. Je reviendrai chercher notre enfance assassinée par la démence & j'lui collerai des lunettes noires.
Ce soir là, la pluie avait lavée tout mes regrets. Encore une fois. Le cœur dans les tempes & la tempête au ventre. De l'os après la chair, de l'acide au rabais jusqu'à en faire pourrir les derniers noyaux frais. C'est l'heure ou le silence balance sur mes nuits pleine de vices le rythme des horloges qui pourrissent. Bonsoir.



















Je suis la petite voix qui te dis de tuer tous tes meilleurs amis, heureusement que tu ne m'entends pas souvent. Pourquoi tu ne veux pas m'entendre plus souvent ? Allez, tue les gens, tue les gens.
Des heures qui fuient des jours qui s'en vont vers la nuit & des nuits qui s'enfuient toujours vers des carrefours, des points de non-retour. Des mégots de cigarettes qui s'entassent sans que le temps s'arrête. Des joints qui passent & des verres qui défilent. Je joue mon âme à contre-cœur avec un verre d'vodka au fond du cœur. Sous la lune caustique & sanguine, un flacon à la main, en procession jusqu'aux toilettes, loin du monde qui m'oppresse je respire l'odeur alcaline des relents d'amour périmé.
Je t'attendrai toujours sur le point de non-retour. Mon âme divague & fait d'immenses vagues, la lune est une aspirine. Dans les yeux trop souvent on déblatère sans que l'âme jamais ne se désaltère. Je n'irai pas à l'hôpital où les fous se sentent mal. J'passerai ma vie la tête à l'envers.
J'ai laqué mes ranjos, je me noie, je gerbe sur mon perfecto. Vodka, Vodka, Vodka, la nuit titube, la nuit tombe. Les coctails molotov explosent. Tarmas rit, j'hurle, je m'effondre. J'ai reçu un éclat de rire dans l'oeil.

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http://at.the.dusk.cowblog.fr/commentaires-2643270.htmlMon, 04 Aug 2008 15:25:22 +0200http://at.the.dusk.cowblog.fr/if-i-can-t-be-my-own-i-d-feel-better-dead-2643270.html