At.The.Dusk

Le bonheur n'est-il qu'une illusion ?

Vendredi 11 avril 2014 à 10:52

Ahhhh, le bon vieux temps.

Mercredi 1er août 2012 à 13:39

Blablabla

Jeudi 23 avril 2009 à 10:41

Sommes-nous encore Humains ?

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Alors ?




Les liens des images & les textes les accompagnant seront ajoutés par la suite.

Mardi 27 janvier 2009 à 20:53

Sourire d'un soir,
Quelque peu délavé
.

          Je fais partie de cette jeunesse aux buts qui s'effacent petit à petit. Mon âme est torturée, déchirée. J'ai honte de ce que je suis, de ce que je serai. Je ris. Imbéciles immatures qui veulent se faire passer pour des adultes. Cette majorité qui, pour fuir, se réfugie dans des conneries & se bousille l'existence. Cette immense majorité qui préfère monter dans le train, direction : gare de la normalité. Cette majorité absolue immature restée au stade des peluches enfantines & de la gentillesse autrement dit de l'hypocrisie cachée sous une énorme mascarade.
Parmi ce nouveau monde froid & cruel où règne la loi du plus fort, il y a cette réalité qui a tué tous nos fantasmes de romantisme. Cette réalité qui nous use à devenir mutilé de liberté. Salir son cœur & ses envies avec des pourritures qui nous permettent de nous évader quelques minutes de ce concept de superficialité de beauté où certaines filles s'obstinent sur leurs balances & aux futurs hommes faisant l'amour encore enfant pour le prouver. À tous ces anciens enfants devenus grand trop vite. À ces foutus règlements desquels on veut s'évader quelques temps. À cette sois-disante éducation que l'on veut briser, à un avenir inexistant auquel on ne veut participer. À cette généralité de vie qui brise des milliers d'espoir ; je lève mon verre. Tout ces rêves en commun de richesse & d'attirance. Une jeunesse qui s'obstine à de stupides actes. Un idéal brisé. Mon âme est torturée, salie, fragmentée en centaine de morceaux impunément répartis sur Terre. Cette confiance non accordée à l'inconnu, je m'obstine à mon existence irréelle. Je suis ratée. Mon début de vie est déchiré dans monde de menteurs. Tous ces artistes torturés par le désarrois, obligés d'acquérir des substances pour devenir si créatifs dans une jeunesse technologique, fainéante, où le plus marqué fera la loi. Le froid hante nos c
œurs. L'avenir est inimaginable, l'avenir est mascarade, autant que le présent...
Il n'y a plus assez de place dans mon cœur, pour loger la révolte, le dégoût, la colère.
Ne me lâche pas, mon train déraille.
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Vendredi 26 décembre 2008 à 15:08

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À
toi, la fille qui hante mes visions nocturnes.
Une des raisons de mes insomnies, également.
Où est passée la folie qui nous animait lorsque l'on s'est connues ?
Où sont désormais les bonds dans mon coeur, lorsque je voyais ta chevelure flamboyante au loin ?
Où sont passés mes inquiétudes, mes angoisses à propos de ton caractère que j'ignorais & que je me plaisais à découvrir chaque jour, mon envie de te plaire & de te faire rire ?
Tu te souviens de tout ça ? Nos embrassades folles, nos soirées d'amour infini, nos putain de câlins, tu sais ; ceux qui me font pleurer. Moi je m'en souviens & je me souviens aussi me réveiller rien qu'à la force du désir de te parler.
J'ai peur de la routine, de l'ennui. J'ai peur de la distance. Je me réveille. Doucement. Faut dire qu'elle nous bousille. J'en ai marre.
Force est de constater que toi seule arrive à me suivre dans les couloirs de mon labyrinthe.  Toi seule peut traverser les barreaux de ma prison mentale.
Malheureusement, rien n'est plus comme avant.
C'est dingue comme une idée peut différer, du jour au lendemain, d'une minute à une autre. Que peut-on faire en si peu de temps ? Se remémorer tous ces moments passés avec toi. Tout cet amour perdu au coin d'un feu. Ce putain de sentiment qui est là, mais qui est désormais inutile.
Je ne sais pas ce qui me prend, mais je sais que je me sens capable de te laisser tomber ce soir même. Puis sûrement le regretter demain. Mais ne surtout pas revenir en arrière, car échouer, perdre de la dignité ou autre connerie du genre. Peur de me tromper.
Je ne sais jamais quels choix prendre dans ma vie. Je suis indécise, lunatique & sans doute, je me prends trop la tête.
Alors soit tu es intelligente & tu ne prêtes pas attention à ce que je raconte ce soir, soit tu es une idiote & tu t'acharnes à comprendre ce qui me passe par la tête (alors que moi même, qui suis la principale concernée, ne le sais pas exactement) & alors, tu n'auras pas de réponse, juste de la souffrance & de l'inquiétude. Mais tu dois avoir l'habitude.
Ah mais aussi, j'ai oublié de préciser.
Si tu ne prêtes pas attention à ce que je dis ce soir, je risquerais de t'en vouloir, dans un futur proche, de ne pas avoir pris en compte ce qui me tenait à coeur. Tu sais, je vais me dire que tu te fous de moi...
Puis donc on se disputera & on s'éloignera.
Quand mes visions nocturnes m'empêchent de rêver & couvrent mon sommeil d'un voile inachevé, je n'ai plus de mots assez durs pour te dire que je t'Aime... encore.
Un voile blanc s'infiltre doucement devant mes yeux.

N
e pas me lever, avoir peur, angoisser.
Déambuler dans les plaies de mon labyrinthe sombre & noir.
Je sors mon briquet phosphorescent pour griller mes traumatismes d'enfant. Je t'attends & me mens.
Tu ne pourras pas venir puisque tu ne sais pas où je suis à ce moment là & que c'est toujours ainsi.
Et puis je me mets à chanter, un petit air anodin qui me trouble jusqu'au matin. Je t'avais dit d'te barrer, de cesser de m'aimer mais finalement tu as insisté. Mais quoiqu'on fasse est bel & bien foutues.

Mea culpa.

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